Biography

EN

MATUYAMA is the name of the last reversal of the Earth’s magnetic field, which occurred 7000 centuries ago. It is also a new Belgian electronic duo with Jayce (synthesizer, bass, voices) and Salvio Ladelfa (synthesizer, percussions, voices).

For this project, the duo revisits their Madelaines. Was it a Juno 60 or an Odyssey? No, a Prophet! It’s the same keyboards they use today to arrange layers, some of which seem to illustrate the lasers of Jean-Michel Jarre. Are they trying to reverse his Les Chants Magnétiques? That album that lulled this duet to sleep when they were kids and their parents played their first CD’s in the car on the way home from a late night dinner.

It’s just that 2024 isn’t the ’80s. Our world is moving away from that tense yet golden era when the digital and analog poles were first observed. Two trajectories that merge as much as they repel. But as long as magnetism works, they know how to take advantage of their parallel paths.

When composing, certain pieces sounded obvious. Aria and Walk Alone. The child is finally here, and doing well. With eyes closed, it dreams, it dances.

This duet invites you on a starry journey , like the infinite sky you gaze at with your head upside down and windows tilted in a car, returning late at night from a rather conventional evening out with friends.

FR

MATUYAMA, c’est le nom de la dernière inversion du champ magnétique terrestre apparue il y a 7000 siècles. C’est aussi un nouveau duo électronique belge avec Jayce (synthétiseurs, basse, voix) et Salvio Ladelfa (percussions, synthétiseurs, voix).

Pour ce projet, le duo revisite ses Madelaines. C’était un Juno 60 ou bien un Odyssey ? Non, un Prophet ! Ce sont les mêmes claviers qu’ils utilisent aujourd’hui pour arranger des nappes dont certaines semblent illustrer les lasers de Jean-Michel Jarre. Tiens, chercheraient-ils à inverser ses Chants Magnétiques ? Cet album qui berçait le duo lorsqu’ils étaient enfants et que leurs parents jouaient leurs premiers CD’s en voiture en rentrant d’un souper tard le soir…

C’est que 2024, ce n’est pas les années 80. Notre monde prend la tangente de cette époque à la fois crispée et dorée, quand les pôles numériques et analogiques s’observaient pour la première fois. Deux trajectoires qui se fondent autant qu’elles se repoussent. Mais qui, tant que le magnétisme opère, savent tirer parti de leurs routes parallèles.

A composer, certains morceaux sonnèrent comme une évidence. Aria et Walk Alone. L’enfant est enfin là, et il se porte bien. Les yeux clos, il rêve, il danse.

Ce duetto vous invitent à un voyage étoilé, comme le ciel infini que l’on regarde, la tête renversée et les vitres entre-ouvertes dans une voiture qui rentre d’une soirée un peu convenue chez des amis tard le soir.